Lorsque je travaillais, je passais beaucoup de temps loin de chez moi. Au début, la nouveauté de séjourner à l’hôtel m’apparaissait comme une bénédiction, mais très vite j’ai appris la signification du proverbe « l’absence rend le cœur plus tendre ».  

En mars 2020, j’ai trouvé que la fermeture forcée des églises me permettait de souffler un peu. Aujourd’hui, j’attends avec impatience les moments où nous pourrons célébrer ensemble le culte en tant que congrégation, sans restrictions. Je me rends compte que mes racines dans l’amour de Dieu sont renforcées par l’enseignement, le culte et la communion avec les autres, en particulier avec l’église que je considère « comme ma maison ».